Il a même poussé l'esprit de minorité jusqu'à soutenir Daniel Ortega, l'ancien dirigeant sandiniste, dont la réputation s'est malheureusement dégradée depuis qu' il est parvenu au pouvoir à Managua.
Ce qui fait resurgir devant nous les quelques 20 % de new-yorkais qui vivent dans la la pauvreté, parfois dans une indigence extrême . La ville des milliardaires et de tous les" de plus en plus riches" est aussi le lieu où se croisent ceux qui apportent de tous les coins du monde leur faim, leurs espoirs, leurs chants, les livres qu'ils écriront parfois et qui passent a côté des quartiers ou se sont fortifiées les minorités installées depuis longtemps, russes , juifs, porto-ricains et maintenant mexicains, colombiens et haïtiens.
Bienvenue Bill de Blasio, vous qui avez échappé à la corruption qui avait paralysé les démocrates de New York, aux gens bien installés, qui cherchent à faire oublier leurs origines et qui êtes porté par ceux qui créent pour le monde entier les mots et les mélodies qui rendent supportable la pauvreté et le manque.
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